Cette rubrique sera consacrée à l'Architecture, celle du quotidien, comme celle de notre Avenir.
Présentation de travaux d'étudiants, de projets architecturaux,...
Photographies d' Architecture au quotidien, des belles croûtes ( pour ne pas dire de gros mots ), des architectures qui vous paraissent laides, comme des Architectures qui vous émerveillent, par exemple: un château, un musée, ..., votre maison, ou même la cabane au fond du jardin.
Votre jugement de valeur sera respecté, le principal est de faire partager votre " endroit favori " ( parc, paysage, place, rue, immeuble,... )
Etant moi-même étudiant en Architecture, à l'Ecole Nationale Supérieure d' Architecture de Saint-Etienne, ou ENSASE, je vous proposerais mes services en tant que conseiller, pour toutes vos questions sur vos possibles projets (extension de logement, logement, ...)
C'est aujourd'hui au Mipim (Cannes) qu'a été dévoilée la tour Hermitage de Jacques Ferrier Lord Foster (+ Partners) à Courbevoie.
As usual, Norman Foster ne fait pas dans la demi-mesure :
"Construite dans le plus strict respect de l’environnement, la double tour vise la mention "Excellent" de la certification Breeam. A Paris-La Défense, Hermitage Plaza sera, avec ses 323 mètres, le plus haut immeuble mixte jamais construit en Europe occidentale. Offrant une mixité d’usages inédite à Paris, Hermitage Plaza sera composé de deux tours : la première, haute de 91 étages, accueillera un hôtel cinq étoiles, un centre de thalasso et des appartements et la seconde, haute de 93 étages, des bureaux et, également, des appartements. Elles s'élèveront au-dessus d'un vaste socle aménagé en place publique, bordé de magasins, de boutiques, de restaurants et de cafés ainsi que des équipements culturels, dont un auditorium et une galerie d’art contemporain".
Le début des travaux devrait intervenir en 2010 pour une livraison en 2014.
Ce qui nous laisse le temps d'en reparler. Jacques, si tu nous lis...
Le site de la Cité des sciences et de l'industrie (Paris 19e) en sa configuration actuelle. Sur la gauche de l'établissement (Adrien Fainsilber, architecte), le parvis minéral côté porte de la Villette. Sur la droite, la Géode sphérique et le parc de la Villette, ponctué des "Folies" rouges imaginées par l'architecte Bernard Tschumi.
Redessiné par l'équipe d'Arep, emmenée par Jean-Marie Duthilleul et Etienne Tricaud, le parvis nord sera "requalifié" grâce à une intense végétalisation et un nouveau dessin des accès depuis les transports en commun.
Le nouveau hall d'accueil, agrandi et au plafond surbaissé, favorisera l'accessibilité de tous les publics et améliorera la fluidité des parcours. Il devrait également éviter les actuels engorgements chroniques observés aujourd'hui devant les billetteries...
La signalétique - extérieure et intérieure - sera entièrement refondue. Objectif : se repérer plus facilement dans cet immense édifice et cheminer plus rapidement d'un point à un autre.
Une trémie créée dans le plancher côté sud, permettra à la lumière du jour d'irriguer la médiathèque et de donner une plus grande visibilité à l'actuel Centre de congrès de la Villette, élément-clé de la vie de la Cité des Sciences.
A Lyon, le quartier de La Part-Dieu rêve de verticalité
Donner un nouvel élan au quartier de La Part-Dieu. C'est l'objectif de la forte présence du Grand Lyon au Mipim.
"Nous voulons rappeler qu'il s'agit du deuxième centre d'affaires en France, après La Défense", lance Gilles Buna, vice-président en charge de l'urbanisme et des grands projets.
Renforcer le positionnement tertiaire de La Part-Dieu et vendre cette image en France et en Europe, tels sont les défis du Grand Lyon. Avec les projets des tours d'affaires Oxygène et Incity, la Ville va pouvoir attirer des grands utilisateurs – les surfaces supérieures à 30 000 mètres carrés sont rares à Lyon – et conquérir un peu plus ses galons de capitale européenne.
Si les investissements sont importants – en 2008, sur les 832 millions d'euros investis dans les bureaux à Lyon, un cinquième concerne La Part-Dieu – les élus cherchent à les accélérer. "Notre volonté, c'est de densifier ce poumon économique : nous voulons atteindre 1,3 million de mètres carrés de bureaux en 2020, contre 900 000 actuellement", détaille Gilles Buna.
La Part-Dieu offrant peu de foncier disponible, la voie choisie est celle de la verticalité. Les élus rêvent déjà de lancer une troisième, puis une quatrième tour d'affaires. "C'est une volonté politique, mais avec une commercialisation à 300/350 euros le mètre carré – les loyers des futures tours Oxygène et Incity – un problème de rentabilité se pose", concède le vice-président.
En attendant, l'urgence est à la commercialisation des projets actuels. Sur les 28 000 m2 d'Oxygène – livraison programmée en avril 2010 – 16 000 m2 sont déjà réservés par la SNCF. Rien n'est encore signé pour le solde. "Mais nous avons de nombreuses touches", assure Marc Balaÿ, directeur général adjoint de Sogelym Développement, promoteur des deux tours. Le Mipim marquera également le lancement de la commercialisation d'Incity (40 000 m2). Le challenge ? Trouver un gros porteur, en pleine période de crise. "Ce n'est pas un problème pour notre ville", assure Gilles Buna, "dans un souci d'économies d'échelle, les sociétés possédant plusieurs sièges provinciaux cherchent à les regrouper sur un seul site, et cela profite à Lyon".
Pour garantir aux entreprises un cadre de travail agréable, le Grand Lyon s'est également engagé dans un vaste chantier de requalification de La Part-Dieu. L'idée est de repositionner au sol cet urbanisme de dalle et de rénover la gare, aujourd'hui saturée.
La tour lyonnaise Incity vient d’être présentée au Mipim.
Haute de 200 mètres, elle a pour objectif de répondre aux attentes de développement durable des utilisateurs.
La tour Incity dans sa "froideur" extrême.
Elle devrait voir le jour d’ici à 2013.
Lyon va accueillir une troisième tour dans son quartier d’affaires de la Part-Dieu.
Après la tour du Crédit Lyonnais, aussi appelée «Crayon» et la tour Oxygène, la tour Incity.
Vue dans son contexte urbain
Présenté lors du Mipim, le gratte-ciel devrait culminer à 200 mètres. La structure devrait être élaborée dans une démarche de développement durable avec, entre autres, des capteurs solaires sur les façades et un système éolien intégré en son sommet.
Elle projette d’atteindre 80 à 90 kilowatts d’énergie primaire par m2 consommée par an (kWh/m2/an).
De plus, l’immeuble mise sur la lumière naturelle.
Une tour de 36 étages
Imaginée par les architectes Denis Valode et Albert Constantin et dirigée par les cabinets Sogelym Steiner et Dixence, la tour Incity comportera 36 étages et s'étendra sur une surface de 40.000 m2 pouvant ainsi abriter des bureaux.
L'entrée
En janvier 2008, le maire de Lyon, Gérard Collomb, ambitionnait à travers les différents projets de la Part-Dieu de créer «un centre d'affaires à l'échelle européenne».
«Aujourd'hui, notre niveau de commercialisation nous place devant des villes comme Milan ou Dublin et nous pouvons encore renforcer notre puissance en matière tertiaire», a-t-il souligné. Avant d'ajouter : «Il y a encore de la place pour deux ou trois tours dans les prochaines années».
Ca me fait plaisir de voir qu'il y a enfin des commentaires.
Vous êtes ici pour donner votre avis, et même poster des nouveaux articles.
Sylar, si tu veux développer sur SINAN, je ne serais pas contre, et bien au contraire,...
A tous les autres, si vous avez l'occasion de voyager (même pas loin de chez vous, à Lyon, par exemple ou même au coin de la rue et jusqu'au bout du monde), si vous désirez poster une ou plusieurs photos de votre "périple", allez y !
Quand on parle de l'architecture ottomane, le nom qui vient immédiatement à l'esprit est Mimar Sinan (1490-1588). C'est un architecte qui a grandi dans la période la plus florissante de l'Empire ottoman. Né au environ de 1490 à Kayseri dans une famille chrétienne orthodoxe. En 1521 il fut enrôlé par les janissaires, corps d'élite de l'armée ottomane dont les membres étaient choisis dans les familles chrétiennes, convertis, ils étaient entraînés pour combattre au service du sultan. A l'âge de 21 ans Sinan devint élève au Palais et choisit le métier de charpentier dans lequel il excella visiblement. Il prit part aux campagnes de Belgrade, Rhodes, Hongrie, Vienne, Bagdad et Corfou en tant qu'ingénieur architecte. A cette occasion il construit des bateaux et un pont qui firent l'admiration du Sultan Soliman. Il mena une carrière militaire active et pendant ses voyages, il eut l'occasion d'observer les meilleurs exemples architecturaux des différentes civilisations rencontrées. Nommé architecte en chef de la Cour, il fut près de 50 ans à la tête d'une importante équipe composée d'assistants et entrepreneurs. On dit qu'il enseigna son art et sa technique à près de 250 élèves, dont Davout Ağa bâtisseur de la Nouvelle Mosquée d'Istanbul et Mehmed Ağa celui de la Mosquée Bleue d'Istanbul.
Architecte infatigable Sinan construisit au cours de sa longue carrière 84 mosquées dont 42 à Istanbul, 51 mescit (petite mosquée), 3 hôpitaux, 57 medersas, 7 écoles coraniques, 22 türbe (mausolée), 17 imaret (maison des pauvres), 7 aqueducs et arches, 48 caravansérails, 35 palais et castels, 8 arcs et 46 établissements de bains dans tout l'Empire ottoman, de Budapest à la Mecque et de Sofia à Damas. Il n'était pas seulement un artiste à la recherche de la perfection dans son art, mais il maîtrisait aussi à merveille les techniques d'urbanisme.
Sachez bien que rien ne paraît plus naturel que l'harmonie d'un monument avec son environnement, construire d'immenses mosquées dans les endroits les mieux appropriés de façon qu'elles puissent être vues dans toute leur magnificence.
Comme il le disait lui-même, trois de ses œuvres majeures sont représentatives de ses progrès et de la pleine maîtrise de son art. Les deux premières sont à Istanbul : La Mosquée de Şehzade, le travail d'un apprenti, la Mosquée de Süleymaniye, celui d'un maçon. La Mosquée de Selimiye à Edirne est son chef d'œuvre absolu.
Quand on voit les monuments qu'ils faisaient à l'époque sans ordinateur et sans machine, je suis sur, qu'aujourd'hui, avec les mêmes outils qu'avant nos spécialistes n'arriveraient même pas à le refaire.
J'espère pour toi, que ton souhait se réalisera, ...
A l'époque de Sinan, seuls les rois pouvaient se permettre de telles merveilles, ... et grâce à l'emploi d'esclaves.
A moins d'habiter en Chine, tu pourras te construire un "château de la Loire", identique à celui de Chambord ou celui qui te fais rêver, un véritable château de Princesse.
Si tu as vraiment les moyens (ou plutôt ceux de ton futur mari, à ce que j'ai pu lire, mdr), je pourrais te construire une telle demeure.
La pyramide du Louvre célébrera ses 20 ans le 30 mars 2009.
Après avoir été l'objet, avant même sa réalisation, d'attaques et de critiques violentes, elle a trouvé sa place aujourd'hui dans le paysage parisien.
Sa construction fait partie du projet Grand Louvre, voulu par François Mitterrand, qui a vu la prise de possession par le musée de 22 000 m² occupés auparavant par le ministère des Finances, avant son déménagement à Bercy.
En effet, avec le surcroît de visiteurs attendu à la suite de cette extension, les entrées existantes devenaient inadaptées (*).
La décision a alors été prise d'aménager une entrée principale à partir de la cour Napoléon, à équidistance des différentes ailes du musée. Mais le lit de la Seine ne permettant pas de descendre au-dessous de 7 mètres, le risque existait de construire quelque chose qui ressemble « à une immense station de métro avec un plafond bas », comme le redoutait François Mitterrand.
C'est le projet présenté par l'architecte sino-américain Ieoh Ming Pei qui a été retenu, ouvrant, par une pyramide de verre, ce souterrain à l'air libre et à la lumière.
« Il m'est apparu d'emblée comme le plus rationnel, le meilleur et le plus beau », devait confier l'ancien président.
Relever plusieurs défis techniques Sans remonter à un passé pharaonique - encore que ses proportions (21,50 m de haut avec une base carrée de 35 m de côté) s'inspirent de celles de la pyramide de Kheops -, le choix esthétique de Pei n'était pas sans rappeler un projet datant de 1809 où il avait été envisagé d'élever une pyramide dans la cour du Louvre pour honorer l'empereur Napoléon Ier.
L'idée avait été exposée par Bernard François Balssa dont le fils prénommé Honoré deviendra célèbre sous le nom de Balzac. Ieoh Ming Pei connaissait-il cette anecdote quand il commença à travailler sur le projet en 1983 ?
Comme ses devancières égyptiennes, la pyramide du Louvre a dû relever plusieurs défis techniques. Les principaux portent sur le verre qui fut fourni par Saint-Gobain. Le cahier des charges, donné en septembre 1984, était précis et contraignant, avec trois grands axes : le verre devait être transparent et incolore, léger et sécurisé, la surface extérieure du bâtiment devait être lisse sans qu'aucune accroche ne dépasse.
Pour répondre à l'objectif de transparence sans coloration, le verre a été purifié et décoloré en enlevant tous les oxydes ferreux et ferriques qui donnent la couleur verte sur la tranche.
« On a utilisé des sables spéciaux de la forêt de Fontainebleau et rajouté des oxydes métalliques pour obtenir une qualité de verre optique », indique Gabriel Marly, directeur de la prescription chez Saint-Gobain Glass. La fabrication a nécessité un four spécial avec fusion électrique. Le verre était laminé à la sortie comme une plaque d'acier, puis il passait à l'adoucissage et au polissage.
L'architecte demandait un produit artisanal fabriqué avec un outil industriel. Pour obtenir un produit léger et sécurisé, il a été fait appel à un procédé encore très peu utilisé à l'époque : le VEC (vitrage extérieur collé) qui consiste à coller ensemble deux feuilles de verre, de 10 mm chacune dans le cas de la pyramide.
Pas de différence de colorimétrie
Pei avait une autre exigence. Il ne voulait pas de différence de colorimétrie. Où que l'on soit, à l'intérieur ou l'extérieur de la pyramide, la couleur miel des pierres du Louvre devait rester la même.
Saint-Gobain a relevé tous ces défis et le verre extra-clair, inventé pour l'occasion et commercialisé sous le nom de Diamant, équipe aujourd'hui les vitrines des bijoutiers et des magasins de luxe.
L'installation du vitrage, formé de 675 losanges et 118 triangles, a réclamé de vraies prouesses techniques. Il a été assemblé avec des tolérances d'usinage et de façonnage de l'ordre du millimètre.
La structure porteuse en acier a été montée avec une déformation prenant en compte le poids du verre pour, qu'une fois posé, le vitrage offre une surface parfaitement plane. Si la pyramide a nécessité 95 tonnes de produits verriers représentant 1 900 m², c'est une quantité double qui a été fabriquée, par précaution, au titre de la garantie décennale.
Aucun problème n'étant survenu, le verre a été refondu et revendu dans la gamme Diamant. Le coût de la toiture de 15,4 millions d'euros (avec les bassins de la cour Napoléon) l'a fait passer, à l'époque, pour la plus chère du monde.
(*) La fréquentation du musée, qui était de 3 millions de visiteurs par an dans les années quatre-vingt, est passée à 8,5 millions pour l'année 2008.
lol merci pour le commentaire c'est sympa de mencouragé ms je pense que pour le chateau c'est pas demain la veille a par si vs voulé me faire un don je suis preneuse (je sais c'est la crise ms un petit effort s'il vous plait) un cadeau ne se refuse jamais parce que le prince charmant je peu encore le cherché longtemps. La seul solution serait dépousé un mafieu o moin je suis sur d'avoir le chateau, et il serait en Sicile.ok ya pa de souci tu viendra me le construire je te laisserai faire ce que tu veut et il sera tellement beau que tu deviendra celèbre ms pas un chateau style chambord c'est pas beau plus comme une construction de Sinan .T'inquiete pas je te payerai bien et je te ferai une pub d'enfer.lol
Le Pritzker Price est la plus grand récompense que peuvent recevoir les Architectes.
Les critères de sélection sont drastiques, il faut avoir déjà construit au minimum un édifice qui caractérise l'Architecture de son auteur, ou qui est un manifeste d'une Architecture, ou selon le critère de l'ensemble des oeuvres construites.
Bref, c'est le " césar " des architectes.
Cette année, le lauréat est l'Architecte Suisse: Peter Zumthor. Je vous conseille d'aller regarder quelques de ces édifices, c'est très enrichissant.
Je vous explique, j'ai un projet de résidence étudiante, et ma soutenance se déroulera le 30 Juin prochain. Mais pour pimenter cela, un ami et moi, nous avons passé un petit pari, ..., bête mais pas évident, car celui qui mettra les images ci-dessous sur un grand nombre de documents, gagnera le pari.
Voici la liste des figures imposées :
De plus, comme nous devons représenter une chambre d'étudiant, nous devons aussi rajouter des images subliminales ou directes de ce que l'étudiant peut faire dans sa chambre. ( photos de pub Ricard, ou de bières, des mégots, des restants de pizza, ... du coca, ... )
Je vous donnerais le vainqueur. OUI OUI, en Archi, des fois, on peut p^ter un câble